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L’UEMOA accompagne la structuration des filières maïs et riz

Les filières riz et maïs ont été retenues dans le cadre de la convention signée, en 2015, entre l’UEMOA et le Gouvernement du Sénégal à travers le Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural (MAER).

225 millions FCFA et 300 millions FCFA sont respectivement dégagés, pour l’appui à la structuration de la filière riz et de la filière maïs.

Cela est en cohérence avec le Plan directeur des filières agricoles prioritaires, défini et adopté par règlement n° 006/2007/CM/UEMOA, qui a identifié et retenu cinq filières agricoles (riz, maïs, coton, bétail/viande et volaille) devant bénéficier prioritairement des appuis de développement de la Commission.

Faire du maïs une chaine de valeur porteuse au plan national et compétitive au plan régional et international 

L’appui accordé au Sénégal pour conduire le processus de structuration des acteurs de la filière maïs est confié au Fonds national de Développement agro-sylvo-pastoral (FNDASP) qui en est l’agence d’exécution pour le compte du MAER.

Présente à l’Assemblée générale constitutive de l’Interprofession Maïs, Mme Aissa Kabo SIDIKOU, représentante résidente de l’UEMOA à Dakar dira sa totale satisfaction par rapport à « l’approche méthodologique participative, inclusive et la qualité des activités privilégiées par la Direction exécutive du FNDASP ».

Mme SIDIKOU ajoutera que « le choix porté sur le maïs n’est pas fortuit car cette céréale, en bonne place dans le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS), a connu un bond de production notable, passant de 238 000 en 2013 à 761 883 en 2020 ». Cela fournit des « atouts pour la transformation agro-alimentaire, l’aviculture, la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté ».

Maintenant que l’interprofession maïs est mise en place, le prochain défi sera la mise en conformité de 70 coopératives de producteurs de maïs à l’Acte uniforme de l’OHADA sur les sociétés coopératives.  Il s’agira, alors, selon toujours Mme SIDIKOU, « d’accroitre la production, la transformation, de faire du maïs une chaine de valeur porteuse au plan national et compétitive au plan régional et international ».

 

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