Financement de la structuration des filières

Riz

L’accompagnement de la filière riz est financé par l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) dans le cadre d’un projet d’appui au développement et à la gouvernance de la filière riz d’un montant de deux cent cinquante millions (250 000 000) F CFA.

Le projet a permis la structuration de la zone pluviale et du bassin de l’Anambé et leur arrimage au Comité interprofessionnel riz (CIRIZ).

Plusieurs activités ont été financés :

  • Un atelier de partage de la convention UEMOA et de construction de la demande de structuration avec les leaders de la zone pluviale, tenu à Ziguinchor et qui a abouti au schéma de structuration de la zone pluviale et à la mise en place du Comité d’initiative chargé de la mise en œuvre de la feuille de route ;
  • Une visite d’échanges des acteurs de la zone pluviale dans la Vallée du fleuve Sénégal ;
  • L’étude sur l’état des lieux, l’identification et la caractérisation des organisations de producteurs de riz dans la zone pluviale ;
  • L’élaboration des instruments de gouvernance du CIRIZ (plan stratégique, manuel de procédures, base de données et portail web, plan de formation) ;
  • Financement de l’étude sur le mécanisme de prélèvement pour l’autonomisation et la pérennisation de l’Interprofession riz du Sénégal ;
  • Financement des ateliers de formation des leaders du CIRIZ sur (i) la gouvernance des organisations interprofessionnelles agricoles (le profil du leader, le rôle, la responsabilité, la qualité et le comportement du leader, les organes de gestion et instruments de gouvernance du CIRIZ, le leadership, la concertation, les négociations, la gestion des conflits, le partenariat et le dialogue politique), (ii) les techniques de communication (communication interpersonnelle, prise de parole en public, gestion des relations média, gestion de la communication de crise, la capitalisation et la gestion des connaissances) et (iii) le suivi-évaluation, la formulation et la planification des projets et programmes (identification et analyse des problèmes, utilisation de la théorie du changement pour transformer un arbre des problèmes en arbre des objectifs, la conception et la formulation de projet et programme de développement et la planification stratégique et opérationnelle) ;
  • Financement de l’étude de la mise en conformité des statuts et règlement intérieur du CIRIZ par rapport à la LOASP ;
  • Les appuis institutionnel faits au CIRIZ pour l’achat (i) de matériel et d’équipement informatique, (ii) de mobilier de bureau, (iii) pour l’aménagement des locaux, la mise en place d’une cellule d’appui technique (secrétaire exécutif, comptable, gestionnaire de base de données, chauffeur, achat d’un véhicule etc.).

Sur demande du CIRIZ, le même processus est dupliqué dans la zone irriguée. Il s’agit, notamment, de financer l’étude sur l’état des lieux, l’identification et la caractérisation des acteurs des différents maillons de la chaine de valeur riz en zone irriguée, dans la Vallée du Fleuve Sénégal.

Maïs 

L’accompagnement de la filière maïs est financé par l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) dans le cadre d’un projet d’appui à la structuration de la filière maïs d’un montant de trois cent millions (300 000 000) F CFA.

L’Interprofession Maïs du Sénégal (IMAIS) est mise en place lors d’une assemblée générale constitutive tenue le 12 aout 2021, à Dakar, sous la présidence du Pr Moussa BALDE, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural.

Préalable à cette assemblée générale, la filière a été structurée en maillons des producteurs et des transformateurs. Le collège national des producteurs est mis en place en 2016 au terme d’un processus marqué par la réalisation de :

  • Une étude sur l’état des lieux, l’identification et la caractérisation des producteurs de maïs dans les zones Est, Sud et Sine-Saloum ;
  • Une étude sur l’état des lieux, l’identification et la caractérisation des producteurs de maïs de la zone de la Vallée du fleuve Sénégal ;
  • La mise en place de quatre sous-collèges de producteurs :
    • Sous-collège des producteurs de maïs de la zone Sine Saloum (Fatick, de Kaolack, Kaffrine) ;
    • Sous-collège des producteurs de maïs de la zone Casamance (Kolda, Sédhiou, Ziguinchor) ;
    • Sous-collège des producteurs de maïs de la zone Sud-Est (Kédougou, Tambacounda) ;
    • Sous-collège des producteurs de maïs de la zone Vallée du fleuve Sénégal (Saint-Louis, Matam, Tambacounda).

Le Collège national des transformateurs est mis en place en décembre 2020. Il résulte des activités préalables ci-après :

  • Une étude d’identification et de caractérisation des autres maillons de l’interprofession maïs ;
  • Une étude de pré-identification et de cartographie du maillon des transformateurs de maïs du Sénégal ;
  • La mise en place de 14 sections régionales de transformateurs de maïs ;
  • La mise en place cinq sous-collèges zonales de transformateurs de maïs ;

La mise en place du collège national des transformateurs de maïs du Sénégal.

Oignon

L’appui accordé aux acteurs de la filière oignon entre dans le cadre de la consolidation, de la mise en place de l’Interprofession Oignon du Sénégal (IPOS), conformément à la LOASP. Dans cette optique, le FNDASP a accompagné l’IPOS dans la restructuration de la filière en vue de l’émergence d’une Interprofession légitime et représentative de tous les acteurs de cette filière.

Le processus a abouti avec la tenue de l’Assemblée générale constitutive de l’Interprofession Oignon du Sénégal (IPOS), le 18 juillet 2019, sous la présidence du Pr Moussa BALDE, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural.

Diverses activités préalables avaient été menées depuis le deuxième semestre de l’année 2015 notamment :

  • La mise en place d’un comité d’initiative en août 2015 ;
  • L’organisation d’un atelier méthodologique de diagnostic de l’IPOS ;
  • L’élaboration d’une feuille de route et la conduite d’une campagne d’information et de sensibilisation dans la vallée du fleuve Sénégal et la zone des Niayes en décembre 2015 ;
  • La réalisation des études d’identification et de caractérisation des organisations de producteurs d’oignon (ELICOPO) dans la zone des Niayes, la Vallée du fleuve Sénégal et la zone spéciale ;
  • La conduite d’une campagne d’information et sensibilisation complémentaire dans la zone des Niayes et la Vallée en 2017 et d’une campagne d’information pour la zone spéciale ;
  • La mise en place de dix sections de producteurs d’oignon (Niayes (3), Vallée (4), zone spéciale (3) ;
  • La mise en place de trois sous-collèges de producteurs (Niayes, Vallée, zone spéciale) ;
  • La mise en place du collège national des producteurs d’oignon du Sénégal, le 11 mai 2018 ;
  • La tenue d’une réunion de concertation avec les commerçants et de mise en place du comité ad hoc, le 16 février 2018 ;
  • La mise en place de quatorze sections régionales de commerçants d’oignon ;
  • La mise en place de cinq sous-collèges zonales de commerçants d’oignon (Est, Sud, Nord, Centre, Ouest) ;
  • La mise en place du collège national des commerçants d’oignon du Sénégal, le 12 décembre 2018.

 

Anacarde

L’Interprofession Cajou du Sénégal (ICAS) a tenu son Assemblée générale constitutive, le samedi 28 août 2021, à Ziguinchor, sous la présidence du Pr Moussa BALDE, Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural.

Les acteurs de la filière anacarde sont accompagnés depuis mars 2015 pour mettre en place leur interprofession avec l’appui d’un consortium animé par le FNDASP. Ledit consortium comprend la Direction des Eaux, Forêts, Chasses et Conservation des Sols (DEFCCS), le Programme d’Appui au Développement économique de la Casamance (PADEC, clôturé), l’ONG américaine International Relief and Development (IRD, dont le projet CEP est clôturé), le Programme de Développement intégré de Fatick (PDIF), l’Agence de Promotion des Investissements et Grands Travaux (APIX), l’Association des Femmes d’Afrique de l’Ouest (AFAO), l’ONG Green Sénégal, le Conseil sénégalais des Chargeurs (COSEC) et du Projet  de valorisation des Eaux pour le Développement des Chaines de Valeur (PROVALE-CV).

Le processus conduit par les acteurs eux-mêmes, de manière inclusif et participative, de la base au sommet, a permis la mise en œuvre du schéma de structuration :

  • D’abord, des Sections au niveau de chacun des trois maillons que sont la production, la transformation et la commercialisation, dans les régions de Ziguinchor, Kolda, Sédhiou, Fatick, Kaffrine, Thiès et Dakar ;
  • Puis des Sous-collèges des différents maillons dans les bassins de production des zones éco-géographiques de Casamance, Sine-Saloum et Niayes ;
  • Ensuite, les Collèges nationaux de la production, de la transformation et de la commercialisation.

Un appui institutionnel prendra en charge :

  • Le financement de la mise en place du Secrétariat exécutif de l’Interprofession (recrutement du personnel, financement de l’acquisition de matériel informatique et bureautique) et
  • Le financement pour l’acquisition de matériels roulant (véhicules, motos).


Tomate

Les activités d’appui au Cadre national de Concertation de la Filière Tomate industrielle (CNCFTI) sont mises en oeuvre dans le cadre d’un protocole d’accord entre le FNDASP et le Bureau d’Analyses macro-économiques (BAME) de l’Institut Sénégalais de Recherches agricoles/Bureau d’Analyses macro-économiques (ISRA/BAME), maître d’ouvrage délégué.

PRINCIPALES ACTIVITES

  • Elaborer ou réviser des instruments de gouvernance du Comité (statuts, réglement intérieur, manuel des procédures, plan d’actions 2017-2020 et base de données) pour leur mise en conformité avec la Loi d’orientation agro-sylvo-pastorale (LOAS) en son article 25 et au décret n° 2008-1260 du 10 novembre 2008 portant reconnaissance, organisation et fonctionnement des organisations interprofessionnelles agricoles ;
  • Renforcer les capacités (formation et voyage d’études des leaders) à travers l’identification des besoins prioritaires de formation en vue de renforcer les capacités de gouvernance et de régulation de la filière mais aussi de délivrance de services aux membres ;
  • Faciliter les concertations, entre le collège des producteurs et le collège des Agro-industriels (SOCAS, Takamoul Food et Agroline), sur la régulation de la filière, l’élargissement de l’assiette de prélèvements, sa mobilisation et son utilisation aux fins de rémunérer les services aux membres.

RESULTATS

Les statuts et réglement intérieur revus en conformité avec la LOASP ;

Un manuel des procédures validé ;
Un plan d’actions 2017-2020 validé ;
Un rapport de formation validé ;*

COÛT
Trente millions (30 000 000) de francs CFA dont 28 500 000 FCFA pour l’appui institutionnel au CNCFTI et 1 500 000 FCFA de coûts indirects.

PORTEUR : CNCTFI

ZONES CIBLE ET BENEFICIAIRES : Vallée du fleuve Sénégal

DUREE : 3 ans

PRINCIPALES REALISATION EN 2017

Révision des Statuts et du réglement intérieur du Comité national de concertation de la Filière Tomate industrielle CNCFTI) par l’ISRA/ BAME : Bureau d’Analyse macro-économique;
Elaboration du manuel de procédures du CNCFTI ;
Organisation de la campagne d’information et de sensibilisation sur l’abondement du FNDASP ;
Organisation des réunions entre le CNCFTI, les agro-industriels et le FNDASP ;
Organisation de la réunion du Conseil d’Administration du CNCFTI ;
Organisation d’un atelier de formulation des sous projets de renforcement de la productivité et du renforcement de la structuration de la filière tomate industrielle ;
Organisation de l’atelier de formation de Conseillers agricoles et ruraux et des relais producteurs sur les bonnes pratiques de production de tomate industrielle.

Lait

  •  

L’appui à la structuration de la filière lait s’est fait avec la collaboration du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS Sénégal), du GRET, d’ENDA Énergie et du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC), pour un montant de 45 760 528 francs CFA répartis comme suit : (i) 14 373 603 FCFA par le FNDASP, (ii) 27 071 925 FCFA par le PRAPS, (iii)   350 000 FCFA par le GRET (iv) 925 00 FCFA par ENDA Énergie et (vi) 3 040 000 FCFA par le PUDC.

Diverses activités ont été menées depuis 2015 :

  • le 15 août 2015, tenue d’un atelier de lancement du processus de mise en place d’une interprofession laitière au Sénégal ;
  • d’octobre 2015 à mars 2016, élaboration du plan d’actions et du budget 2016-2018 validés en avril 2016 ;
  • d’avril à octobre 2016, recherche de partenaires pour le financement du plan d’actions. Parmi ces partenaires, le FNDASP a répondu favorablement à la requête du comité pour appuyer la mise en place d’une Interprofession légale, légitime et représentative, conformément à la loi n°2004-16 du 4 juin 2004 portant loi d’orientation agro-sylvo-pastorale (LOASP). Ainsi, le FNDASP a financé :
  • le 1er Décembre 2016 à Dakar, un atelier de partage (i) du cadre législatif et réglementaire et (ii) de la méthodologie de mise en place d’une Organisation interprofessionnelle agricole (OIA) ;
  • le 8 mars 2017 à la DIREL de Dakar, une réunion de partage, d’information et d’évaluation du plan d’actions avec la participation des partenaires techniques et financiers de la filière ;
  • les 30 et 31 mars 2017 à l’hôtel Le Relais de Kaolack, un atelier (i) de pré-identification des organisations de producteurs, de collecteurs, de transformateurs et de distributeurs de lait, (ii) de planification de la campagne d’information et de sensibilisation et (iii) de planification des enquêtes d’état des lieux, identification et caractérisation (ELICO) des acteurs de la filière lait ;
  • le 29 septembre 2017 à l’hôtel Paris de Kaolack, l’atelier de formation des enquêteurs ;
  • du 10 octobre au 11 novembre 2017, les enquêtes ELICO des maillons de la filière lait qui ont touché 162 organisations dont 52 organisations de producteurs, 27 organisations de collecteurs, 77 organisations de transformateurs et 6 organisations de distributeurs ;
  • le 15 février 2018 aux résidences Mamoune Dakar, un atelier de validation du rapport ELICO et du schéma de structuration décliné dans les 14 régions du Sénégal en 56 assemblées générales constitutives (AGC) réparties en (i) 14 AGC sous collèges régionaux de producteurs, (ii) 14 AGC sous collèges régionaux de collecteurs, (iii) 14 AGC sous collèges régionaux de transformateurs, et (iv) 14 AGC sous collèges des distributeurs. L’exploitation des données, par maillon et par région, a permis de corriger et ramener les 56 AGC à 47 AGC de sous-collèges régionaux (dont, 4 AGC de collecteurs au lieu de 14), à l’issue desquelles se tiendront 4 AGC nationales (producteurs, collecteurs, transformateurs et distributeurs), avant d’aboutir à l’étape ultime de l’AGC de l’Interprofession Lait.

Le FNDASP et le PRAPS, sur la base d’une convention, ont convenu de cofinancer ces AGC ;

  • Du 06 au 23 mai 2019, les AGC des 47 sous collèges se sont tenues dans toutes les régions du Sénégal sous la coordination des 14 gouverneurs et des 14 Services Régionaux d’Elevage et des Productions Animales (SREPA) du Sénégal ;

Du 03 au 06 septembre 2019 à Kaolack, les AGC des 4 collèges nationaux se sont tenues (i) sous la coordination du gouverneur de Kaolack, (ii) avec la facilitation du Chef de service de l’élevage (SRELPA) de Kaolack et (iii) l’animation par deux (2) superviseurs issus du comité ad hoc et d’un consultant.

Porc

L’accompagnement de la filière porcine est financé par le Budget consolidé d’investissement (BCI).

Le processus a démarré en 2018. Les activités menées à cette fin sont :

  • La campagne d’information et de pré-identification des acteurs de la filière porcine ;
  • La mise en place de Comités d’initiative diocésains devant mettre en œuvre le processus de structuration de la filière et
  • L’atelier de validation et de définition du schéma de structuration.

La filière est également accompagnée pour développer un partenariat avec la filière homologue française à travers des voyages d’étude et le renforcement des capacités de leurs leaders. La mission de défense des intérêts et de fourniture de services aux membres est réalisée au profit des acteurs avec l’appui du Fonds.

Il reste à finaliser la mise en œuvre du schéma de structuration qui doit aboutir à la mise en place de l’interprofession et l’accompagnement à sa fonctionnalité.

Aviculture

  • Appui à la formalisation de l’Interprofession Avicole du Sénégal (IPAS) en organisation Interprofessionnelle Agricole ;
  • Révision des statuts et règlement intérieur de l’IPAS conformément à la LOASP et au décret 2008-1260 portant reconnaissance, organisation et fonctionnement des OIA ; 
  • Appui à l’élaboration du manuel des procédures administratives et comptables ;
  • Appui à l’Interprofession dans le cadre de son partenariat avec la Fédération interprofessionnelle du Secteur Avicole (FISA) du Maroc ;
  • Contribution aux activités du Cluster Aviculture sur : (i) la codification des métiers avicoles, (ii) le guide de bonnes pratiques d’hygiène pour les volailles, (iii) le financement de la filière avicole ;
  • Constitution et dépôt du dossier de reconnaissance de l'IPAS comme organisation interprofessionnelle agricole au niveau du Ministère en charge de l’Agriculture via le Ministère en charge de l’Elevage ;
  • 1 appui financier fait à l'IPAS pour l'organisation du week-end du poulet ; 
  • 1 appui technique fait à l'IPAS dans le cadre de son partenariat avec ADEPTA de France et FISA du Maroc ;
  • 1 appui technique et financier fait à l'IPAS dans le cadre de l'élaboration, la signature et la mise en œuvre de la convention avec le FISA ;
  • 1 appui financier fait à l'IPAS pour sa participation au salon VIVE Europe sur l'aviculture.

 

Banane

L’Interprofession Nationale de la Banane du Sénégal (INABAS) a tenu son Assemblée générale constitutive, le 20 décembre 2018, à Dakar, sous la houlette de l’Union nationale des acteurs de la Filière Banane au Sénégal (UNAFIBS) avec l’appui méthodologique et financier du FNDASP et de l’ONG Rikolto.

La demande émanant des acteurs s’est faite lors de la validation du plan stratégique de développement de la filière banane et a été confirmée lors de la rencontre de suivi des recommandations de l’atelier tenu, à l’Agence de Régulation des Marchés (ARM), le 28 juillet 2016.

Dès lors, plusieurs jalons ont été posés par le Fonds et ses partenaires (Rikolto et ARM) :

  • Atelier d’harmonisation du processus de mise en place de l’interprofession avec la participation de l’ARM, de la Direction de l’Horticulture (DHORT), Rikolto et des acteurs de la filière. Cet atelier a donné naissance au Comité d’initiative chargé de la mise en œuvre du processus suivant un plan d’action concerté ;
  • Atelier de pré-identification des acteurs de la filière (Producteurs et Commerçants) ;
  • Campagnes d’information et de sensibilisation des acteurs à la base au niveau des différentes zones de production et de commercialisation pour garantir la participation et l’inclusion de tous les acteurs ;
  • Étude sur l’état des lieux, l’identification et la caractérisation des Organisations de Producteurs ;
  • Atelier de validation de l’étude et choix du schéma de structuration et ;
  • Mise en place du schéma de structuration qui a vu l’installation de :
    • Trois sous-collèges de producteurs des zones Sud-Est (régions de Tambacounda et Kédougou), Casamance (région de Kolda et Sédhiou), et Vallée du Fleuve Sénégal (région de Podor) ; et
    • De six sous-collèges de commerçants:
      • Sous-collège de la zone Nord (régions de Louga, Saint-Louis et Matam)
      • Sous-collège de la zone Sud (régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda)
      • Sous-collège de la zone Sud-Est (régions de Tambacounda et Kédougou)
      • Sous-collège de la zone Centre (régions de Fatick, Kaolack, Diourbel (Touba) et Kaffrine)
      • Sous-collège de la zone Ouest (régions de Dakar et Thiès)
      • Sous-collège des Importateurs de banane.
  • Dans le cadre du renforcement de capacité des membres, le FNDASP a financé un voyage d'étude en France pour les leaders de l'interprofession banane.

Les prochains appuis du Fonds porteront sur l’actualisation du plan stratégique de développement de la filière banane, la mise en place d’un secrétariat exécutif et le financement des réunions statutaires.

Manioc

    • 1 atelier diagnostic et de planification de la restructuration de l’interprofession manioc ;
    • 1 plan d’action de la structuration de la filière manioc élaboré ;

 

  • 1 protocole d'abondement du FNDASP par l’interprofession Manioc signé ; 
  • 1 compte est ouvert par le FNDASP au nom de la filière Manioc pour loger la contribution des acteurs de la filière aux financements des services agricoles ; 
  • Abondement du FNDASP d’un montant de 8 000 000 FCFA dans un compte ouvert au nom de l’Interprofession Manioc du Sénégal ;

 

  • 1 Pré-identification et cartographie des acteurs de la filière manioc est réalisée ;
  • 1 campagne d’information et de sensibilisation des acteurs à la base de la filière manioc est réalisée. 

 

Patate douce

  • 1 atelier de partage de la démarche méthodologique de structuration, de mise en place du comité d’initiative et planification des activités de structuration organisé ;
  • 14 sessions d'information et de sensibilisation des acteurs à la base sur la structuration de la filière patate douce et 431 producteurs leaders touchés dont 101 femmes.

 

Pêche artisanale

  • 1atelier de partage de la démarche méthodologique de structuration, de mise en place du comité d’initiative et planification des activités réalisé ;
  • 1 atelier de pré-identification des acteurs de la filière (différents maillons), de planification de la campagne d’information, de sensibilisation et de préparation de l’étude ELICOP de la filière pêche artisanale.

 

Mangue

1 atelier de diagnostic organisationnel et de planification des actions prioritaires d’appui à l’Interprofession Mangue du Sénégal (IAMS) réalisé.

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